Je rentrais d’un long déplacement professionnel sur les routes nationales vers le soir. En approchant d’un rond-point, j’aperçus une silhouette familière au bord de la route. Une fille, 23 ans, brune aux cheveux tirés en queue-de-cheval. Elle portait un débardeur moulant qui soulignait ses beaux seins et un short en jean élimé.
Elle leva son pouce dans ma direction, et je ralentis pour lui permettre d’approcher. En baissant la vitre, elle me dit :
— Vous allez où ? — Lyon, mais je peux vous emmener si ça vous chante…
Elle monta dans la voiture sans attendre une réponse, prenant place sur le siège passager avec aisance.
On commença à discuter. Elle avait quitté un covoiturage qui la stressait et préférait autostopper pour plus de liberté. Sa présence se faisait de plus en plus tactile. Sa main s’attarda sur ma cuisse, son regard devint appuyé.
— T’es toujours aussi sérieux ? — Pas vraiment…
Elle sourit, un clin d’œil en coin. Puis elle défaisa sa ceinture et se pencha vers moi. Sa main glissa sous mon pantalon, et elle tira doucement sur ma braguette pour sortir ma queue déjà dure. Sans attendre, elle l’embrassa avec une chaleur qui me fit ralentir involontairement.
Je finis par quitter la nationale pour m’arrêter sur une petite aire isolée, presque cachée par des arbres touffus. Elle suggéra :
— Viens derrière.
On passa à la banquette arrière de la voiture. Elle retira son short, ne portant aucune culotte. Sans hésiter, elle s’assit à califourchon sur moi et me guida en elle. Serrée, humide, chaude, son corps résonnait dans l’habitacle.
Elle commença par un mouvement lent qui se fit de plus en plus rapide. Ses seins rebondissaient, et son souffle s’accéléra. Elle marmonna :
— Putain, c’est bon…
Je la retournai pour la mettre à quatre pattes sur la banquette arrière. Je la prenais avec force, mes mains agrippant ses hanches fermement. Ses gémissements résonnaient dans l’habitacle.
— Plus fort… oui…
Elle jouit, tremblant de plaisir. Je continuai à la pénétrer encore un moment avant de me retirer. Je me branlai rapidement et éjaculai sur ses fesses et le cuir des sièges. Elle rit doucement et s’essuya avec un vieux tee-shirt.
On reprit la route, elle remonta son short sans une once d’émotion. Au moment de quitter l’aire, elle dit simplement :
— Merci pour le trajet… et le reste.
Je l’ai déposée à une petite station-service et ne l’ai plus revue. Cependant, chaque fois que je prends la route, cette rencontre résonne dans ma mémoire.







