La lumière tamisée de la réserve éclairait leurs silhouettes. La femme, ses seins généreux serrés sous un chemisier ajusté, hésitait à franchir le seuil. Son patron l’attendait, dos contre la porte, son sexe dur et gonflé pressé contre son pantalon. Elle sentit son cœur battre plus fort tandis qu’il approchait ses doigts pour effleurer sa joue. Un murmure sortit de sa bouche : « Tu as de beaux seins… » Sa voix était rauque, chargée d’une tension électrique qui parcourut son échine.
Ses mains glissèrent lentement jusqu’à son décolleté, révélant un peu plus ses courbes généreuses. Il se pencha vers elle, respirant l’air entêtant de sa peau, et murmura : « Tu as un corps sublime… » Ses doigts trouvèrent le bouton caché de son pantalon professionnel. Une chaleur humide naquit entre ses cuisses, alors que son regard plongea dans le sien avec une intensité presque cruelle.
Il retira sa veste d’un geste sec et l’enroula autour des épaules de la femme pour amortir les sons. Ses doigts s’aventurèrent vers ses fesses, caressant chaque courbe, avant de glisser vers un autre but : son sexe gonflé. « Vas-y… », souffla-t-il, et sa bouche se mit à l’engloutir avec avidité.
Elle se concentra sur le gémissement qui s’échappait de ses propres lèvres tandis que la longueur raide de son patron remplissait sa gorge. Ses mains agrippèrent ses fesses, et elle sentit ses testicules serrer contre son visage alors qu’il grognait : « Putain… » Une explosion chaude envahit sa bouche et son palais avant qu’elle ne recule, avalant tout sans un mot.
Les doigts du patron se faufilèrent entre ses jambes. Il rit en constatant que la chatte de la femme était rasée comme une plage glabre, prête à l’exploration. « Tu aimes ça ? » demanda-t-il avec un sourire vicieux avant d’introduire son doigt dans sa chatte humide.
Ses cris étouffés et ses gémissements remplissaient la réserve tandis que ses doigts se retiraient pour fouiller plus loin, plongeant dans l’anus. « Oui… », geignit-elle alors qu’il déchiffrait son corps. Un cri aigu perçut la pièce lorsque sa langue vint taquiner le clitoris. Elle serra ses cuisses autour de son visage pendant que le patron la regardait avec un air gourmand.
Il l’allongea sur des cartons et se positionna entre ses jambes ouvertes. « Regarde ton cul… », dit-il en la soulevant pour mieux la voir, « il est parfaitement tendu ». Il introduisit deux doigts dans son rectum avant de se retirer pour l’engager avec sa queue rugueuse.
Sa chatte serra ses couilles et son sexe dur à travers le tissu. La femme gémit en sentant la pression d’un deuxième doigt. « Oui… », cria-t-elle, « comme ça ! » Ses cris se firent plus intenses lorsque son patron lui écarta les fesses pour mieux plonger ses doigts dans son cul et sa chatte.
Il recula soudainement puis la retourna, forçant ses genoux à toucher sa poitrine. « Allez… », dit-il en positionnant ses hanches entre ses jambes ouvertes, « montre-moi ta chatte ». Ses doigts trouvèrent son clitoris et commencèrent une friction frénétique pendant qu’il se pencha pour lécher sa chatte.
La femme se cambra sous l’attaque de sa langue, ses seins tremblant à chaque coup de bouche. « Putain… », murmura-t-elle entre deux gémissements, « comme ça ! » Elle sentit un doigt glisser dans son cul et une décharge électrique parcourir son dos avant que le patron ne recule pour introduire son sexe dans sa chatte.
Ses cris se firent plus intenses lorsque son pénis enflé sortit de son entrejambe. « Encore… », supplia-t-elle, mais il s’écarta et plaça ses doigts dans son cul à nouveau. La femme hurla alors qu’il introduisait deux doigts puis un troisième dans son anus.
Il se pencha pour lécher son clitoris, son visage enfoncé dans son entrejambe pendant que ses doigts agitaient sa chatte et son cul. « Regarde-toi… », murmura-t-il, « tu es tellement humide ». La femme se cambra de nouveau alors qu’il introduisit un autre doigt dans son cul.







