Malgré la promesse de nous revoir dans l’après midi, enfin, surtout la promesse qu’elle m’a faite après m’avoir fait jouir, nous n’avons pas eut la possibilité de nous retrouver. Par un grand hasard, nous quittons le travail ensemble (qui a dit que la vie est bien faite).

« Il faut que l’on discute toute les deux, je crois

-Oui me dit elle »

Un oui franc et massif, qui claque à mes oreilles.

Nous allons dans le café situé à quelques pas de notre bureau. Au calme dans un coin de la salle, nous pouvons discuter de tout, de rien, et surtout de se qu’y est passé après le déjeuner.

« Pourquoi m’as-tu fais cela ce midi ?

-Je sais que tu n’es pas stupide, et moi non plus. J’ai bien remarqué comment tu me regardais, comment tu me fixais du coin de l’œil durant toutes ces journées. Tu sais ce que je fais quand je quitte mon bureau, et ne me dit pas que tu es hétéro à 100% je ne te croirais pas.

-Comment sais-tu ?

-Je le sais, c’est tout. Tu oses dire que cela ne t’a pas plus ?

-Pas du tout, mais…

-Mais quoi ? Je me fais du bien dans les toilettes, la journée je regarde des vidéos coquines sur internet, j’aime le sexe avec les hommes et les femmes, chacun son tour ou tout en même temps. Salope, non, coquine et libre, oh oui. Je crois que tu n’es pas mal non plus de ce qui se dit dans les couloirs. »

Je suis toute rouge, j’ai les joues qui me brulent. J’ai bien envie de me cacher dans un trou de souris. C’est à cet instant que j’ai senti sa jambe sur la mienne. Elle me fait du pied. C’est si bon. Je sens que mon bas ventre commence à se réchauffer. Oh oui c’est une coquine, il n’y a pas d’autre mot. Nous terminons le verre commandé et nous partons chez elle.

Pourquoi ai-je acceptée ? J’aime le sexe, elle aussi, pourquoi ne pas se faire du bien toutes les deux alors que personne ne nous attends chez nous.

Arrivées à son domicile, nous buvons un petit verre mais cette fois alcoolisé, tout en discutant de tout et de rien, mais sans nous lâcher. Nos jambes se croisent, les gestes se font de plus en plus intimes, mais toujours avec une certaine distance. Un véritable jeu érotique ne visant qu’à exciter un maximum l’autre et à le faire craquer et succomber. La soirée se déroule petit à petit, Virginie me propose de mettre bien plus à l’aise et d’aller prendre une douche si je le souhaite.

« Tu aimes diriger ? Je me trompe ? Pourquoi pas, après tout, une bonne douche ça ne peut me faire que du bien. »

Virginie  m’emmène à la salle de bain et me tend un peignoir pour la sortie de la douche. Je fais couler l’eau chaude mais pas trop, il faut que je me refroidisse. Chose qui me surprend, elle ne vient pas avec moi. La porte fermée, je ne sais ce qu’elle peut préparer ou faire.

Quand je sors de la salle de douche, c’est pour la découvrir devant la porte revêtue d’une combinaison en latex. Une combinaison complète qui ne laisse que quelques passages vers ses orifices et ses seins. D’ailleurs, quelle belle vue que voilà. Elle est encore plus sexy dans cette tenue. Ses seins tous ronds, son triangle parfaitement épilé dessinant une sorte de flèche et soulignant encore plus sa féminité. Une splendeur, un aphrodisiaque à elle toute seule. Armée d’une cravache, elle me flagelle la cuisse. Surprise, je sursaute. Elle m’agrippe par les cheveux et m’emmène dans la chambre. En un instant je suis attachée au mur, jambes et bras écartés. Je n’ai pas la moindre envie de résister, pourquoi, je ne sais pas, peut être l’excitation, certainement l’excitation. Me faire dominer par une femme, why not.

Elle parcoure mon corps et mon intimité avec le bout de la cravache. Par moments elle m’inflige quelques coups, toujours secs mais délicats. Ces coups me font sursauter à chaque fois qu’ils s’abattent sur mois, mais c’est si bon de la sentir me dominer. Je me perds en pensée et laisse faire ma dominatrice lesbienne.

Les coups pleuvent de plus en plus souvent et un peu plus cinglant, surtout quand ils se rapprochent de mon intimité. Elle vient alors poser des pinces à poids sur mes tétons. Aie, ça fait mal ! Elle recommence à me flageller, à chaque fois que je sursaute, les poids sur mes seins me les étirent fortement, cela m’excite encore plus. Je n’imagine même pas à quel point ma minette doit être gonflée.

Elle finit par me détacher les mains et me fait cambrer le dos. Les mains sur les chevilles, je me retrouve une nouvelle fois menottée. Je vois entre mes jambes qu’elle enfile un gode ceinture. Dans cette position, c’est sur, je vais prendre cher ! Elle se glisse en moi comme dans un moulin.

« Un véritable garage à queue ta chatte ma petite salope ! Je vais être obligé de passer par l’autre ! »

Elle ressort de moi et je vois de la cyprine goutter du gode ceinture, elle disait vrai, je n’ai jamais vu autant de mouille sur un gode. D’un seul coup elle perfore mon petit trou sans aucun ménagement. J’ai le petit trou en feu, j’ai mal, je ne peut pas bouger d’un iota, elle le sait et augmente la cadence et la violence de ses coups de reins. La cravache refait son apparition et vient s’abattre entre mes omoplates.

J’ai les bouts de seins endoloris par les poids qui s’agitent dans tous les sens, ma minette est gorgée de plaisir à en éjaculer dans pas longtemps, mon anus me fait un mal de chien sous les coups du gode ceinture, je n’en peux plus.

Elle m’assène encore je ne sais combien de coups de gode ceinture avant que je ne jouisse bruyamment et abondamment. J’inonde le sol par une énorme éjaculation féminine. Rassasiée, elle aussi, elle vient me détacher.

« Jamais personne n’avait encaissé si bien mon gode ceinture. Regarde la taille petite salope soumise. »

A vue de nez, je dirais 25 centimètres de long pour plus de 5centimètres de diamètre, rouge flashi.

Détachée, et toute pantelante, je me redresse tant bien que mal, je la regarde toute heureuse. Je ne l’avait jamais vu avec un tel sourire, un tel apaisement dans le regard. Moi j’étais vidé, littéralement à bout de force et de souffle. Nous sommes allés prendre une douche réconfortante, cette fois toutes les deux. Je n’ai pas pu m’empêcher de la toucher pendant la douche. Mes mains savonneuses sur ses seins tous ronds, sur ses fesses. Oui j’étais vidée, mais je ne l’avais pas touchée.

Sorties de la douche toutes les deux, nous ne prenons même pas le temps de nous essuyer. Cette fois, c’est moi qui la fait jouir en savourant pour la première fois sa minette ; cette belle petite toison qui m’a tant fait rêver et que je n’avais que la chance de voir toute à l’heure. Allongée sur le lit, elle cambre ses fesses et me permet de lui offrir un cunnilingus bien savoureux. Sa cyprine sucrée me rempli la bouche à chaque coup de langue. Elle me prête un gode recourbé spécial point G. Mes coups de langue sur son petit minou bien humide, le point G stimulé par le gode vert et vibrant, elle prend du plaisir et ici, dans sa chambre, j’ai tout le loisir de l’entendre jouir pour la première fois. Dominatrice, oui elle est, mais elle aime aussi se laisser aller au plaisir.

Nous avons finit la nuit ensemble, tranquillement et avons passé pas mal d’autres nuits tout aussi torrides. Nous avons même passé un certain cap en nous mettant ensemble, mais cela ne matchait plus. Nous avons vite repris comme avant et nous nous revoyons de temps en temps, nos amis respectif ne savent pas encore que nous avons été jusqu’à ce point intime. Nous nous sommes promis de leur dire et pourquoi pas de faire ça à plusieurs.