Isabelle, encore tremblante de la pluie glacée qui tombait depuis des heures, attendait en silence dans le parking mal éclairé d’un immeuble moderne. Ses seins généreux, mis en valeur par un débardeur moulant, se pressaient contre son dos tandis qu’elle regardait son reflet dans la vitre embuée de sa voiture. Le froid pénétrant lui picotait les joues, mais une chaleur sourde montait déjà entre ses cuisses, éveillée par le désir d’un inconnu qui se tenait à présent derrière elle. Un coursier en blouson de cuir déboutonné, dont le regard paresseux butait contre son dos nu. Ses doigts longs et froids frôlèrent ses fesses avant que leurs langues ne se mêlent dans une étreinte passionnée.

Il la guida vers un coin de l’allée, protégé du regard des passants par les grilles rouillées. Ses mains expertes glissèrent sous son pull pour explorer ses courbes généreuses avant que leurs bouches ne s’embrassent à nouveau avec une ferveur renouvelée. Isabelle sentit son sexe dur et gonflé se presser contre sa hanche, tandis qu’elle se penchait vers lui en un mouvement lascif. Leurs respirations mêlées formaient un bruit de caresses, un murmure rauque entrecoupé par des gémissements étouffés qui s’égrenaient dans l’air humide.

Le coursier, à genoux derrière elle désormais, lui écarta les jambes avec une délicatesse presque cruelle. Isabelle se cambra en un long frisson quand il introduisit un doigt entre ses lèvres de chatte rasée avant d’enfouir son visage dans sa toison brûlante. Ses griffes s’enfoncèrent dans les épaules de la femme, tandis qu’il lui faisait pratiquer le sexe oral avec une ferveur nouvelle. Les seins généreux de Isabelle se balançaient au rythme des coups de langue qui dévoraient son clitoris.

Elle gémit lorsque ses doigts reprirent possession de sa chatte, l’étirant à travers le tissu de son string. Le coursier, maintenant à quatre pattes devant elle, se redressa pour la regarder dans les yeux. Sa bouche se referma sur son sexe dur et gonflé avec une avidité nouvelle, ses joues rentrées pour l’avaler entièrement avant de le masturber avec des mouvements rythmés.

Isabelle, pantelante, s’appuyait contre un mur en béton quand il la pénétra enfin. Ses fesses nues se contractèrent sous ses caresses, tandis qu’il lui retirait son string et les introduit en elle avec une brutalité calculée. Les sons de leurs corps mêlés remplissaient l’espace confiné – des râles étouffés, des grincements de portières écartées, le fracas de ses propres râles qui se répercutaient sur les murs.

Il lui empoignait les fesses à chaque va-et-vient, son sexe dur et gonflé s’enfonçant toujours plus profondément dans la chatte d’Isabelle. Elle se cambrait sous ses attaques, gémissant enfin à pleins poumons. Le coursier lui arracha une fellation avec une violence nouvelle, ses doigts enserrant son menton pour l’amener vers son sexe frémissant. Il jouit en un long jet de sperme que la femme avala sans réticence.

La tension montait entre eux à mesure qu’il continuait à les masturber tous deux avec une ferveur renouvelée. Isabelle, maintenant allongée sur le sol mouillé du parking, se redressait pour regarder son cul offert au regard de l’homme. Ses doigts s’enfoncèrent dans ses fesses et son sexe dur et gonflé s’enfonça une nouvelle fois en elle avec une violence renouvelée.

Le coursier continua à la masturber, sa main libre plongeant dans le décolleté généreux de Isabelle pour y jouer avec ses seins. Leurs gémissements se mêlaient au fracas des rires de passants lointains et aux éclats d’une chanson jouée en fond sonore. La femme se cambra sous l’intensité de ses caresses, ses cris étouffés par le bruit ambiant.

Les doigts du coursier s’enfoncèrent dans les fesses de Isabelle, la pénétrant à la fois entre ses cuisses et son cul. Elle se cambra sous l’intensité des sensations, ses cris se mêlant aux râles de l’homme. Sa chatte ouverte pour lui, elle gémit à nouveau en sentant le sperme du coursier exploser au fond d’elle.

La lumière de la rue éclaira leur acte final lorsque le coursier et Isabelle firent une double pénétration avec une brutalité renouvelée. Ses doigts enserrèrent les seins généreux de la femme avant qu’il ne jouisse dans un long râle guttural, son sperme coulant à présent en elle à travers l’anus et le vagin.