L’intérêt que me portent les garçons et les filles chamboulent mes sens à chaque fois que leurs regards se posent sur moi. Depuis toujours j’ai toujours été attirée par les deux sexes. Depuis l’instant dont je vais vous parler, cela n’a fait qu’augmenter.

Une collègue de travail, qui a un bureau non loin du mien, Virginie, pour ne pas la citer. Cette femme d’une petite trentaine d’années, de belles courbes, et toujours habillée classe, mais sexy. C’est simple tous les hommes se retournent sur son passage, que ce soit à cause de son parfum ou par l’une de ses tenues. Cette jeune femme passe de plus en plus de temps la tête dans le vide, loin de son travail, et quand elle se met à travailler, c’est pour s’échapper de son bureau quelques instants plus tard. Au départ, je ne remarque pas ces mouvements, mais, petit à petit, j’y fais de plus en plus attention, c’est comme un besoin, un envoutement. Mais que fait-elle la tête dans le vague, et pourquoi s’absente-t-elle si souvent ? D’où je suis-je peux largement et discrètement admirer ses longues jambes embellies par de magnifiques chaussures à talons, quel que soit le jour de l’année. Ces magnifiques jambes interminables me laissent de moins en mois indifférentes au fil des jours qui passent.

Les jupes et les robes qui soulignent parfaitement sa féminité ne cessent d’envahir mes pensées le soir, au point que j’en arrive à me faire du bien en y songeant dans mon bain.

Un jour, comme parmi tant d’autres où nous devons travailler ensemble, elle arrive dans mon bureau, haletante et les joues roses. Avant même que je ne lui demande pourquoi, elle se justifie de son état par le fait qu’elle a du se dépêcher d’aller au service courrier. Mon regard ne peut quitter son chemisier léger qui ne cesse de se gonfler sous l’effet de sa poitrine généreuse qui se remplie d’air. Ses seins pointent, j’en suis certaine. Elle devient vraiment rouge en me voyant fixer sa poitrine, mais ne dit rien.

Nous travaillons, l’heure du déjeuner arrive. De retour de déjeuner je  suis toujours sous le coup de la vision de cette paire de seins gonflés et dardés que j’ai vu ce matin. Il me faut un moment de tranquillité. Je ferme la porte de mon bureau, m’installe confortablement et commence à écarter la ficelle de mon string pour y glisser un doigt et agacer mon clito à travers mes lèvres. De courtes pressions et mouvements, mais biens efficaces, vous voyez de quoi je parle mesdames.

Sans frapper, elle entre dans mon bureau et me surprend en pleine caresse intime. Rouge de honte, je resserre les jambes et me redresse sur mon siège. Elle a tout compris, j’en suis certaine, pourquoi ai-je oublié de fermer à clé la porte du bureau ? Toujours est-il qu’elle referme la porte et vient à coté de moi. Elle fait rouler ma chaise et se glisse entre mes jambes.

D’un coup d’un seul, je sens la langue fraiche et douce de Virginie venir se poser sur mon triangle tout excité et déjà bien humide par les quelques mouvements que j’avais prodigué. Sa langue, mon bas ventre, c’est si bon, je m’effondre sur le fauteuil en lui massant les cheveux. Ses mains parcourent mes cuisses, je frissonne de plaisir. Mon souffle s’accélère, je commence à gémir pour me rendre compte que ce ne sont pas mes gémissements mais ceux de ma collègue. Elle jouit plus rapidement que moi, et pourtant c’est elle qui me donne du plaisir par la langue.

Elle aspire, suce, titille, mordille, je ne sais plus, c’est si bon. J’explose de jouissance en me mordant les lèvres quasiment à sang. Mon clito est en feu, je lui recule la tête pour qu’elle cesse de me torturer ainsi. C’est si bon, j’en redemanderais bien toute l’après midi.

Virginie reste un instant à genoux devant moi en me toisant du regard, elle se lèche les lèvres et suce ces doigts.

Je repasse plus tard dans l’après midi si cela ne te dérange pas.

Elle se relève et quitte mon bureau me laissant submergée par l’orgasme, haletante et pantelante sur mon fauteuil.

Je n’ai même pas le temps de répondre que la porte est déjà refermée.