Depuis quelques mois, Marc avait une nouvelle passion. Non, pas le bricolage, pas la pêche, pas le jardinage. L’IA. Depuis que les nouvelles intelligences artificielles de génération d’images étaient arrivées, il passait ses journées devant son ordinateur, rivé à l’écran, fasciné par chaque détail. Chaque jour, il peaufinait ses prompts, réglait la lumière, ajustait les textures, affinait les angles. Les heures s’écoulaient sans qu’il s’en rende compte. La pelouse restait haute, la vaisselle s’empilait dans l’évier, le linge débordait du panier, mais lui, il n’entendait rien, ne voyait rien.
Ce jour-là, il était particulièrement fier. Il avait créé une série complète d’images ultra-réalistes. Quand Élodie l’entendit l’appeler, elle posa son torchon et rejoignit le salon. Sur l’écran, des dizaines de photos : lui, mais en femme. Une femme maquillée, les cheveux longs, le corps moulé dans des robes serrées, parfois en lingerie, perchée sur des talons vertigineux. Les images semblaient plus vraies que nature.
— C’est… toi ? souffla-t-elle, partagée entre l’amusement et l’incrédulité.
— Ouais ! T’as vu ça ? C’est bluffant, hein ? Franchement, avoue, c’est bien foutu.
— C’est… troublant, admit-elle. Mais dis-moi… la pelouse ? La vaisselle ? Le linge ?
— Oh, ça… demain, répondit-il d’un ton léger.
Elle le fixa un instant, secoua la tête et retourna dans la cuisine sans un mot. Mais dans son esprit, une idée commençait déjà à prendre forme. Il adorait se voir transformé en femme sur son écran ? Très bien. Elle allait l’aider… à le devenir pour de vrai.
Le soir même, pendant qu’il tapait frénétiquement de nouveaux prompts, Élodie sortit son téléphone, ouvrit AliExpress et passa commande. Une combinaison résille grande taille, des bas noirs auto-fixants, deux bodys échancrés, plusieurs strings en dentelle, et une paire de talons hauts, pointure 44. Quand le colis fut validé, elle sourit.
Deux semaines plus tard, tout était arrivé. Marc, fidèle à lui-même, n’avait toujours rien fait de ce qu’il avait promis. La pelouse ressemblait à une friche, la chambre à un champ de bataille, et la vaisselle menaçait de s’écrouler. En revanche, il avait généré une nouvelle série de photos encore plus osées que la précédente. Élodie ne dit rien. Elle attendait juste son moment.
Ce samedi-là, après le déjeuner, elle entra dans la pièce où Marc triturait encore sa souris, casque sur les oreilles. Elle tenait plusieurs sacs à la main. Il leva à peine les yeux. Elle posa tout sur le bureau, d’un geste sec. Marc fronça les sourcils.
— C’est quoi, ça ?
— Ta nouvelle garde-robe, répondit-elle, un sourire en coin. Comme t’as l’air de tellement aimer te voir en femme, on va passer à la pratique.
Il éclata de rire, croyant à une blague. Elle ne riait pas. Son regard avait ce mélange d’autorité tranquille et de malice calculée qui le fit déglutir. Elle sortit lentement chaque pièce, l’une après l’autre : les bas, le body noir, le string minuscule, la résille, les talons vertigineux.
— Tu plaisantes… murmura-t-il.
— Pas du tout. Et comme t’as pas trouvé le temps de t’occuper de la maison, tu vas avoir tout le temps pour t’occuper de toi.
Marc resta figé, bouche entrouverte. Une partie de lui voulait protester, mais il la connaissait : quand Élodie décidait quelque chose, inutile de discuter. Et puis… il y avait autre chose. Une chaleur diffuse qui montait dans son ventre. Il ne voulait pas l’avouer, mais cette idée l’excitait. Beaucoup trop.
Élodie l’entraîna dans la salle de bain. Elle avait tout prévu : rasoir, cire, lotion. Elle commença par lui épiler les jambes. Marc grimaçait, se plaignait, mais obéissait. Ensuite, elle appliqua une crème satinée sur sa peau, la laissant douce comme celle d’une femme. Il se regarda dans le miroir, stupéfait. Son corps commençait déjà à ne plus lui appartenir.
Puis vint le maquillage. Élodie posa ses doigts sous son menton, inclina son visage et, avec patience, traça un trait d’eyeliner, appliqua un peu de mascara, un soupçon de gloss. Quand il se vit dans le miroir, il cligna des yeux, incapable de parler. Son reflet le troubla autant qu’il le fascina.
— Enfile ça, dit-elle en lui tendant le body noir.
Marc hésita, mais le tissu glissa contre sa peau fraîchement épilée, épousant chaque courbe, soulignant chaque défaut et chaque promesse. Elle ajouta les bas, la résille, les talons. Quand il se redressa, il titubait légèrement, malhabile, gauche, mais… transformé.
Élodie l’observa longuement, les bras croisés. Il se sentait ridicule. Exposé. Mais son cœur battait vite, trop vite. Elle s’approcha, posa ses mains sur ses hanches, ses lèvres tout près de son oreille.
— Regarde-toi… Tu passes tes journées à fantasmer sur des images. Maintenant, tu les vis.
Marc déglutit, incapable de répondre. Dans le miroir, il vit ses jambes gainées de résille, son cul moulé par le body, son visage maquillé. C’était irréel. Et pourtant, il sentait son corps réagir malgré lui.
Élodie le fit pivoter, le força à marcher quelques pas, le regard rivé sur son cul serré dans le tissu noir. Elle ricana doucement.
— Finalement, ça te va mieux que je pensais…
Marc osa un sourire nerveux. Il voulait dire que c’était absurde, que ça n’avait aucun sens… mais il n’y parvint pas. Dans le silence, ses joues brûlaient, son souffle s’accélérait. Il découvrait un trouble nouveau, à la fois gênant et irrésistible.
Elle s’adossa au mur, les bras croisés, le fixant avec intensité.
— Tu sais quoi ? Tu voulais jouer à la femme parfaite sur ton ordinateur. Maintenant, tu vas apprendre ce que ça fait d’être cette femme.
Marc baissa les yeux, la nuque rouge. Il n’était plus certain d’être puni. Il n’était plus certain de vouloir arrêter.
Élodie le regardait, bras croisés, adossée à la porte. Marc, planté là, dans son body noir, ses bas résille, ses talons trop hauts, se sentait à la fois ridicule et… excité. La sensation du tissu qui collait à sa peau fraîchement épilée, les talons qui l’obligeaient à cambrer le dos, le maquillage léger qui picotait ses paupières… tout le déstabilisait.
— Tourne-toi, ordonna-t-elle doucement.
Il obéit, mal assuré. Le body moulait ses fesses, la dentelle dessinait ses cuisses. Élodie s’approcha, effleura ses hanches du bout des doigts. Sa voix devint plus basse, presque rauque :
— Regarde-toi, Marc… Avoue que ça t’excite.
Il voulut nier, mais son corps le trahissait déjà. Sa bite tendait le tissu, prisonnière sous la résille. Elle posa la main dessus, doucement, juste pour vérifier, et son souffle se coupa net.
— Comme je m’en doutais…
Elle le fit pivoter pour qu’il se voie dans le miroir. Son reflet le troubla encore plus : ses jambes gainées de résille, ses tétons qui pointaient sous le tissu, son visage maquillé… et cette érection évidente, tendue, ridicule et excitante à la fois.
— Tu passes tes journées à te rêver en femme parfaite derrière ton écran, reprit Élodie. Et maintenant ? Hein ? Tu la sens, ta petite bite, coincée sous la dentelle ?
Marc déglutit, la gorge sèche. Il avait chaud, trop chaud. Elle sourit et attrapa une paire de gants noirs en satin dans le sac, les enfila lentement, doigt par doigt.
— Avance.
Il fit un pas, puis un autre. Les talons claquaient sur le carrelage, l’obligeant à marcher plus lentement, plus cambré. Elle le fit s’asseoir sur la coiffeuse, écarta légèrement ses cuisses. Ses doigts gantés remontèrent le long de ses bas, effleurant la jonction des cuisses, le bord du body, puis plus haut encore.
— Tu sais ce que j’aime, Marc ? murmura-t-elle tout contre son oreille. C’est que, là, je te tiens. T’as passé des heures à fantasmer. Maintenant, c’est moi qui décide.
Elle tira doucement sur le tissu du body, l’abaissant assez pour libérer sa poitrine. Ses tétons durcis pointaient déjà. Elle les pinça entre ses doigts satinés, assez fort pour le faire sursauter.
— T’as des tétons plus sensibles que les miens, je te jure, ricana-t-elle.
Il gémit malgré lui, honteux, mais incapable de contrôler quoi que ce soit. Elle descendit lentement, glissa la paume sur son ventre, sentit les muscles se contracter sous la caresse. Ses doigts trouvèrent l’élastique du body, le tirèrent pour libérer sa bite, gonflée, dure, palpitante.
— Regarde-toi, Marc… T’es en résille, en talons, maquillé… et t’as jamais bandé aussi fort. Avoue que ça te plaît.
Il hocha la tête, incapable de parler. Son souffle était court, son corps brûlait. Elle approcha ses lèvres de son oreille et murmura :
— Tu sais quoi ? Tant que la pelouse n’est pas tondue, que la vaisselle traîne et que le linge n’est pas plié… tu vas rester comme ça. En petite salope.
Ses mots le transpercèrent comme une décharge. Elle se redressa, le força à se lever et à marcher devant elle, juste pour le voir tanguer sur les talons, le cul cambré sous le body.
— Ça te va si bien, souffla-t-elle.
Marc avait honte. Et pourtant, il sentait son cœur battre contre sa poitrine, son souffle trembler, son corps tout entier vibrant d’un mélange de gêne, d’excitation et de soumission douce.
Elle le fit asseoir sur le lit, s’agenouilla devant lui, le regard planté dans le sien.
— T’es à moi, Marc. Et ce soir… je vais te le rappeler.
Marc était assis sur le bord du lit, les cuisses ouvertes, la résille tendue sur ses jambes, le body à moitié baissé. Son souffle était court, presque tremblant. Élodie se tenait debout face à lui, les bras croisés, à le dévorer du regard. Elle avait ce sourire en coin qui le rendait fou, mi-dominant, mi-amusé.
— Tu sais que j’ai jamais vu ta bite aussi dure, lâcha-t-elle doucement.
Marc rougit, mais ne répondit pas. Elle s’avança, posa ses mains sur ses joues, planta ses yeux dans les siens. Son parfum flottait entre eux, mélange de vanille et de sueur chaude. Elle l’embrassa, longtemps, lentement, ses doigts glissant derrière sa nuque. Puis elle rompit le baiser, se pencha, effleura du bout des lèvres sa gorge, son torse, jusqu’à atteindre ses tétons. Elle les pinça entre ses doigts, fit rouler les pointes déjà dures. Marc gémit, surpris de sentir cette zone le traverser comme une décharge.
— Sensible, hein ? ricana-t-elle doucement.
Elle glissa ses mains sur son ventre, descendit lentement, puis s’agenouilla entre ses cuisses. Son regard remonta vers le sien, un éclat de malice dans les yeux. Ses doigts dégagèrent la verge tendue du body, l’entourèrent, la caressèrent lentement. Elle le fixa, planta ses ongles dans sa cuisse juste pour le voir tressaillir.
— Regarde-moi, Marc… Regarde-toi.
Il obéit, ses yeux rivés sur le miroir en face du lit. L’image était irréelle : bas résille, talons hauts, maquillage léger, body noir… et sa bite énorme, gonflée, tremblante dans la main de sa femme. L’humiliation se mêlait à l’excitation pure, décuplant tout.
Élodie se pencha et l’avala doucement. Sa bouche était chaude, humide, parfaite. Marc lâcha un gémissement qu’il ne reconnut pas, rauque, presque animal. Elle le prit lentement, jusqu’à sentir sa gorge le frôler, puis recula, reprenant juste le gland entre ses lèvres, le suçotant avec lenteur. Sa main gauche caressait ses couilles, l’autre tenait sa base fermement, contrôlant chaque mouvement.
— Putain… Élo… souffla-t-il, la tête renversée.
Elle s’arrêta net, le regardant avec un sourire carnassier.
— Non. Pas encore. Tu jouis pas sans que je décide.
Elle se redressa, se déshabilla lentement, le laissant la dévorer des yeux. Sa culotte glissa le long de ses cuisses, dévoilant sa chatte déjà humide. Elle grimpa sur lui, à califourchon, pressant son corps contre le sien, ses tétons durs frottant contre son torse. Marc sentit son clito glisser contre sa bite, la chaleur moite entre eux. Elle ondula doucement, juste assez pour l’allumer encore plus, puis s’arrêta, le souffle court.
— Dis-moi que t’en crèves d’envie.
— J’en crève… répondit-il d’une voix rauque.
Elle se redressa à peine, attrapa sa queue et la guida lentement entre ses lèvres, le fit entrer en elle centimètre par centimètre, sans le quitter des yeux. Marc lâcha un râle, ses mains agrippant ses hanches, la sensation le submergeant entièrement. Elle commença à bouger, doucement d’abord, le serrant, l’avalant, chaque va-et-vient plus profond, plus humide.
— Regarde-moi, Marc… Regarde-moi te baiser, ordonna-t-elle.
Il obéit, les yeux fixés sur son visage, sa bouche entrouverte, ses cheveux qui collaient à ses joues, son corps qui se cambrait à chaque mouvement. Il la sentait partout, autour de lui, sur lui, en lui. Chaque coup de reins le rapprochait de la limite, mais elle ralentissait toujours juste avant.
— Tu crois que c’est toi qui décides, hein ? murmura-t-elle, haletante. Non… C’est moi.
Elle accéléra d’un coup, ses ongles plantés dans ses épaules, ses gémissements se mêlant aux siens. Marc bascula la tête en arrière, incapable de parler, perdu entre le plaisir, la honte et l’envie pure. Quand l’orgasme monta, il ne chercha plus à lutter. Elle se pencha à son oreille, mordit son lobe et souffla :
— Maintenant.
Et il explosa en elle, un râle profond lui échappant, ses doigts agrippant ses fesses, ses hanches tremblant sous la décharge. Élodie continua à bouger encore quelques secondes, puis s’immobilisa, posant son front contre le sien. Le silence retomba, juste troublé par leur souffle saccadé.
Elle se redressa lentement, encore assise sur lui, le regard brillant.
— Alors, conclut-elle en souriant, la prochaine fois que tu veux te voir en femme parfaite… on fera ça pour de vrai. Mais avant… tu tondras la pelouse.
Marc rit, haletant, vidé, incapable de répondre. Il n’avait plus aucune certitude sur ce qu’il venait de vivre. Juste une chose : il en voulait encore.







